06/03/2024

Interview de Frédérique Faveron - Partie 5

La santé mentale des adolescents se dégrade depuis quelques années, avec une augmentation de l’anxiété, de la dépression, et des taux de suicide.

La majorité des études font état d’une association entre des troubles de santé mentale et le temps passé sur les réseaux sociaux.

TikTok, Instagram ou Snapchat font désormais partie du quotidien des 10–24 ans, que ce soit pour suivre la vie des influenceurs, regarder des vidéos ou s’envoyer des messages.

Les réseaux sociaux sont souvent présentés comme une menace pour le bien-être des adolescents.

Depuis quelques années, ces plateformes et leurs répercussions sont l’objet de multiples études scientifiques, largement relayées dans les médias.

Les jeunes semblent développer une sensibilité accrue aux récompenses sociales, donc aux commentaires et aux avis de leur entourage.

Plus les adolescents passent de temps sur les plateformes, moins bien ils vont.

Les usages du numérique et des réseaux sociaux sont complètement intégrés au mode de vie de nos jeunes.

Aussi, j’en appelle aux responsables des plateformes et aux grands décideurs à nous soutenir et à venir à nos côtés en tant que partenaire essentiel dans notre projet et dans le même temps de devenir de véritables espaces de prévention.

Votre générosité et bienveillance sont la source de notre action !

Soutenez-nous !

Précédent

L'invitée de la rédaction France Bleu Drôme Ardèche : Frédérique Faveron, de l'association Génération Mercredi

Suivant

Interview de Frédérique Faveron - Partie 4